La travail aliène la fald

En ce lundi 23 octobre, c'est non sans honte que je déclare préférer les temps de chôme aux jours ouvrés. Faire son marché, lire en écoutant France culture, préparer à manger, prendre le temps d'écouter les gens... Je crois que j'aime mieux ça que travailler! Enfin, je m'entends... Travailler dans certaines conditions. Le stress, ce n'est définitivement pas mon truc. Ca me rend toute chose, toute pas bien.
Et vous les falds, qu'en pensez-vous?

Comments

[Chaton]

Je ne vous comprends pas : le stress ne vous donne pas envie de vous dépasser ?
Moi-même, je me challenge au quotidien. Levée dès potron-minet malgré le chômage, histoire d’avoir le temps de tout faire – envoi de 43 lettres de motivation, autant de coups de fil, en vrai virée chez H&M et Dérive dans mon 16 m2 en robe de chambre – je me branche sur France Inter. Et qui est l’invité ? Le sociologue Louis Chauvel qui vient de sortir « Les classes moyennes à la dérive ». Pour résumer, c’est hyper dur pour les trentenaires issus de ces fameuses classes. « Un essai passionnant mais déprimant » prévient le journaliste de France Inter. Voilà, une fois de plus, on n'échappe pas à la Dérive qui serait donc générationnelle.

[juju]

Fald Guigui, maintenant faut plus se mentir, on est que deux sur ce blog!
La Fald chiche nous devrait pourtant un post sur La Cible 2

[juju]

je prends ce "qu'en pensez-vous?", visant ce sujet-là, comme une provocation personnelle. Une seule réponse possible: THIS IS NOT MY LIIIIFE!
D'ailleurs ce matin, j'ai voulu me rebeller. Je me suis dit, my life n'est pas de scruter dans le métro les pages médias des quotidiens en quête du scoop à pomper, alors j'ai ostensiblement dégainé"L'Avenir d'une illusion" (Big Up pour toi Sigmund pour ce magnifique titre). et bah, franchement, je peux vous dire que les bancs de P.Couille me manque (P.Couille aussi appelé "P.Couille de mes amours" n'est autre que le surnom que nous avions donné, laurence et moi, à Paris IV face à l'incurie des services administratifs de cette Sorbonne pourtant tant aimée) En résumé, une tragique erreur d'aiguillage...